Bangkok et Koh Tao

Notre changement de continent s’accompagne d’une série de petites inquiétudes. Au moment de notre enregistrement à l’aéroport de Christchurch, l’hôtesse nous met d’abord un coup de pression car nous n’avons pas de preuve de sortie du territoire sous 30 jours (soi-disant nécessaire pour obtenir le visa d’entrée en Thaïlande) puis elle nous annonce que notre correspondance à Sydney n’aura pas lieu car l’avion n’a pu décoller de Londres du fait du mauvais temps. On nous a donc basculés sur un autre vol avec la compagnie Emirates, mais notre attente à Sydney sera prolongée de 2 bonnes heures.

Finalement, nous prenons notre nouvelle correspondance sans encombre et c’est sans ennui que nous passons les bureaux de l’immigration, avec l’autorisation de rester 30 jours dans le pays.

Nous nous retrouvons à 2H00 du matin devant l’aéroport de Bangkok dont l’intérieur est rempli de toute sorte d’orchidées jusque dans les toilettes, tout hébétés et assommés par la fatigue, mais aussi par la température et l’humidité élevées. Nous trouvons une navette gratuite qui nous conduits au terminal de bus afin que l’on puisse rejoindre le centre-ville. Malheureusement, nous devons nous battre avec les moustiques et attendre 5h du matin pour prendre un premier bus qui nous dépose près d’un grand rond-point. Il est 5h30 et nous ne savons pas du tout où nous sommes, tout est écrit dans un alphabet qui n’est pour nous qu’un ensemble de jolis spaghetti entortillés. Plusieurs personnes essayent de nous aider mais on a du mal à se comprendre. Il semble quand même ressortir une direction générale et un numéro de bus, le 12, que l’on réussit à attraper pour aller jusqu’au quartier de Thewet. Là et après avoir déambulé dans les rues, nous trouvons une auberge sympathique où l’on est content de poser nos sacs et de prendre un bon « petit-déjeuner » et une douche.

Pour ne pas nous laisser envahir par la fatigue, nous partons nous promener dans le quartier et découvrons déjà son marché aux échoppes enchevêtrées et odorantes, ses temples multiples, colorés et entretenus avec soin.

Au coin d’une rue, on se fait piéger par un beau parleur et on termine dans un tuk-tuk (sorte de scooter à 3 roues, avec une banquette à l’arrière et décoré avec soin et moult couleurs). Pour une somme dérisoire, il nous emmène faire quelques visites (le grand bouddha, démesuré ; le bouddha noir…) mais  aussi et surtout dans différentes boutiques (tailleur « Un complet M’sieur, Dame ? », bijoutier « Un bijou pour Madame ?») pour toucher des commissions en coupons de « gazoline ». Bon, on joue le jeu, on fait un tour rapide des boutiques et on se laisse promener par ce véhicule bruyant mais qui se faufile un peu partout dans le chaos de cette jungle urbaine.

Dans le tuk-tuk

De retour vers l’auberge, nous sommes attablés au petit marché du quartier quand nous rencontrons Christine, une bouddhiste française dont ce n’est pas le premier voyage dans cette région du monde  et qui se prépare à partir au Laos. Elle doit retrouver cet après-midi un moine qu’elle connaît au temple d’à côté et nous invite à venir avec elle. Après une courte sieste nous la rejoignons donc et passons un très bon moment en sa compagnie et celle de ce moine qui parle anglais et accepte de répondre à nos interrogations.

Nous nous promenons ensuite près du fleuve où pullulent les poissons-chats, de gros poissons pas très esthétiques. Quand les gens leur lancent à manger ils s’agglutinent et grouillent à la surface de l’eau.

Beurk !!!

À la fin de cette longue journée, la fatigue a enfin raison de nous et nous tombons comme des masses.

Le lendemain, nous allons au bureau de l’ambassade de l’Inde responsable des visas. Là, on nous fournit les explications dont nous avons besoin. Nous descendons alors dans un cybercafé situé dans la même rue et remplissons les formulaires, puis remontons au 15ème étage et attendons notre tour pour faire notre demande de visa.

Un peu avant 14h, on en a enfin terminé avec les démarches administratives et on décide de tester un petit resto encensé par notre guide et situé au sommet d’un centre commercial aux nombreuses boutiques de luxe, l’Emporium ; il se trouve que c’est assez cher et qu’on n’y mange pas mieux  que dans la rue…

Nous prenons ensuite le métro et descendons au terminal, Hua Lamphong. Ce sera le point de départ de notre virée à travers les quartiers chinois et indien, très animés et dont l’atmosphère est difficile à décrire. Là encore les marchés, véritables bazars dans d’étroites ruelles, nous ravissent.

Nous remontons ensuite grâce au Chao Phraya River Express ; ce sont des bateaux-bus, de grosses embarcations qui montent et descendent la voie d’eau qui sert d’artère principale à la ville et à l’arrière desquelles un homme, généralement très jeune en short et tee-shirt, guide le conducteur en ponctuant chaque arrêt et départ d’un sifflement. Les contrôleuses (comme dans les bus) y possèdent des boîtes cylindriques d’où elles extirpent un minuscule ticket ainsi que la monnaie qu’elles vous rendent. On adore ce moyen de transport original, rapide, peu cher et qui permet de voir la ville sous un autre angle. Il nous faut pour les utiliser passer par les embarcadères longs et branlants qui tanguent sur l’eau trouble du Chao Phraya.

Jeudi 9 février. On apprécie d’ailleurs tellement ce moyen de transport qu’on le reprend ce matin et qu’on oublie d’en descendre à l’arrêt prévu. On descend donc au suivant puis on remonte en marchant. Nous sommes partis assez tôt mais il fait déjà une chaleur terrible.

On visite ce matin le Wat Pho. C’est un ensemble de temples, le plus grand et le plus ancien de Bangkok, datant du XVIIIe siècle (même si sa construction avait débuté au XVIème). L’enceinte abrite de nombreuses chapelles, des pavillons ou chedis, et une profusion de statues de Bouddha et d’autres personnages

On trouve dans le principal de ces temples un immense bouddha couché de 45m de long et 15m de haut, entièrement doré sauf sous les pieds, qu’il a gigantesques aussi et  incrustés de nacre. Le long d’un des murs de ce temple, des chaudrons en métal sont alignés ; contre 20 baths on vous remet une petite coupelle remplie de pièces de monnaie à mettre une à une dans chaque chaudron, ainsi le bouddha est bercé d’un tintement continu…

Cet ensemble de temples est vraiment agréable, très beau et apaisant avec ses coins de verdure, et même le nombre important de visiteurs n’enlève rien à son éclat.

En fin de matinée, nous sortons du temple et partons pour une promenade en bateau sur les klongs (canaux) de Bangkok. Nous avons pour cela dû négocier sérieusement avec une petite mamie afin de louer le bateau à longue queue, avec son chauffeur, qui nous emmène dans des quartiers de Bangkok qu’on ne pourrait voir autrement.

Cette heure de navigation nous a ouvert l’appétit, nous mangeons dans notre cantine habituelle, la rue. En Thaïlande, on ne garde pas la faim très longtemps, on ne peut faire deux pas sans tomber sur une « charrette » ou une échoppe ambulante où l’on trouve des nouilles, du riz gluant, des fruits, des boulettes de porc, du poisson… Au moment de repartir, j’ai la bouche en feu car mon plat était très épicé ! Il faudra bien que je m’y habitue, ce sera pire en Inde.

Nous déambulons ensuite dans les rues, d’abord le long du Grand Palais puis dans le quartier de Khao San où la rue du même nom est envahie de boutiques de vêtements et souvenirs, de bars et de guesthouses (hôtel), et de nombreux touristes. La musique y bat son plein.

On retourne ensuite tranquillement vers l’hôtel où on profite de la relative fraicheur de cette fin de journée.

Au matin de ce vendredi 10 février, nous quittons notre guesthouse avec toutes nos affaires et nous dirigeons vers la gare du centre-ville où nous avons décidé de prendre un train pour une île plus au Sud, Koh Tao. Malheureusement, tous les trains sont pleins et on doit attendre le soir pour prendre un bus puis un bateau.

On laisse nos gros sacs à l’agence où nous venons de prendre nos billets et allons nous promener en ville.  J’en profite pour tester un centre de massage et d’esthétique pour me faire épiler. Là, c’est la classe, musique douce, cire fine et de bonne qualité pour un prix raisonnable. Ce serait presque agréable.

Ensuite nous profitons un peu de la climatisation du centre commercial, mais comme les boutiques sont loin d’être notre centre d’intérêt principal, nous optons après avoir mangé en début d’après-midi dans la rue en respirant les émanations épaisses des gaz d’échappement, d’aller profiter du parc  Lumphini.

C’est un parc vert et agréable où le bourdonnement de la circulation sait presque se faire oublier. On ne soupçonnait pas qu’on y découvrirait une telle faune, tortues et varans en liberté amusent ou intriguent les passants.

Beaucoup de Bangkokois marchent ou courent dans le parc, on assiste même, impressionnés, à un cours de gym collectif très tonique en plein air.

Il nous fait près d’une heure pour rejoindre la gare à pied sous la lumière dorée du soleil qui descend derrière les tours de la capitale.

À 19h30, notre bus prend le départ ; il est rempli de jeunes touristes bruyants venus faire la fête sur les plages de Koh Phangan, une île un peu plus au sud de celle où l’on va. La nuit sera courte et pas du tout reposante. Nous arrivons à 2h30 à l’embarcadère où l’on doit attendre jusqu’à 7h le départ du bateau. Chacun s’installe comme il peut, sur un banc ou au sol pour glaner quelques heures de sommeil.

En approchant les côtes de Koh Tao, sur la bateau qui tangue sur les vagues, on sait immédiatement qu’on a bien fait de venir. On devine déjà de jolies plages et des bungalows aux toits de pailles ou de bois très mignons et l’eau est translucide, turquoise par endroit.

En débarquant on est assailli par les chauffeurs de taxi et autres employés de guesthouse qui nous proposent d’utiliser leurs services. Nous partons d’abord prendre un énorme petit-déjeuner au Cappuccino, un café-patisserie tenu par un français installé ici et qui vend des croissants et du pain presque aussi bons qu’à la maison.

Le propriétaire nous autorise à laisser une partie de nos affaires dans le fond de son commerce car nous avons décidé de partir à pied (la plupart des gens circulent en scooter ou en taxi 4×4 car l’île est assez escarpée). On reconditionne donc nos sacs et on prend, sous le soleil de midi et par une chaleur écrasante un chemin vers le sud. On marche en suivant la côte, heureusement nous sommes assez souvent à l’ombre dans la forêt.

Quand nous posons nos sacs au bout d’une heure et demie de marche en arrivant sur la plage de Sunset, au milieu d’une toute petite crique, nous avons seulement dans l’idée de nous reposer un peu en profitant de ce très bel endroit.

On se dit qu’on va quand même se renseigner sur le prix et la disponibilité des bungalows, mais on n’y croit pas trop. Quelle surprise quand la propriétaire, une dame d’un âge, souriante et dynamique, nous annonce qu’il lui reste un bungalow à 400 baths (soit 10€)… on se jette sur l’occasion et on s’installe.

Le bungalow, une charmante petite cabane en bois un peu abimé équipée d’un grand matelas posé sur une estrade, d’une moustiquaire et d’un ventilateur possède également une salle de bain sommaire avec douche froide. Il est en hauteur et la vue est obstruée par les feuillages, ce qui explique son prix raisonnable, mais il nous convient parfaitement.

On va tout de suite se baigner et l’eau peine à nous rafraichir tellement elle est tiède et puis elle est si claire que même là où on n’a pas pied on distingue sous nous et à l’œil nu le fond de l’eau.

Au milieu de tous les bungalows l’accueil/restaurant du Sunset domine la plage et nous permet de manger un plat de nouilles thaïlandaises en admirant la mer où de  légères vagues brouillent les reflets des bougainvilliers accrochés au bord de la crique.

En fin de journée, tandis que je lézarde sur la plage, Hervé part courir et repérer le chemin du lendemain. À son retour une forte pluie se met à tomber et rafraîchit légèrement l’atmosphère.

Dimanche 12 février. Ce matin nous quittons la plage de Sunset en direction de la baie de Chalok Baan Kao puis longeons la route principale de l’île.

baie de Chalok Baan Kao

Nous bifurquons ensuite vers l’Est pour aller vers la baie d’Aow Leuk. Quand, après une descente vertigineuse, nous arrivons à la jolie plage de cette baie de grosses vagues empêchent la baignade et le sable est épais et désagréable.

Quand nous demandons s’il reste des bungalows libres aux 3 « hôtels » de cette baie, il ne reste que des grands bungalows luxueux trop chers pour nous. Nous reprenons donc avec appréhension et sous un soleil brulant la grande montée qui nous chauffe les mollets. Nous suivons encore la côte en remontant vers le nord pour aller à la baie suivante. Mais en route, environ à mi-parcours, nous tombons sur une intersection ; un petit chemin part vers la droite en direction d’une baie semble-t-il. Nous reconnaissons sur le panneau le nom des bungalows qu’Isa et Adrien, rencontrés en  Nouvelle-Zélande, nous ont conseillés mais qu’on n’a pas su trouver sur la carte. Alors on décide d’y aller. Et on enchaîne avec une nouvelle descente très pentue en priant pour qu’il y ait de la place.

Quand on arrive à Yang’s Bungalows tout semble bien calme, il n’y a presque personne. La propriétaire, Yang, une petite bonne femme d’une quarantaine d’année, minuscule et toute frêle mais dynamique nous montre un des bungalows disponibles et pas chers. La vue nous enchante, bien-sûr qu’on le prend !

Après le repas qu’on prend sur la petite terrasse du « resto »  face à la mer, je m’endors sur les coussins à même le sol, Hervé part s’installer sur le Hamac installé devant notre bungalow…

Si ce n’est pas le paradis, ça y ressemble. Après la sieste, je descends vers la plage mais le courant est vraiment trop fort pour qu’on se baigne, alors je bouquine tranquillement et Hervé retourne courir.

Pour le repas du soir, c’est un peu plus compliqué. Comme Yang a un restaurant sur une autre partie de l’île on doit passer la commande par téléphone et un livreur nous apporte les plats en scooter. Le problème c’est que les 2 employés qui sont restés sur le site des bungalows ne parlent pas du tout anglais et on n’est incapable de comprendre dans un premier temps ce qu’il nous demande. Finalement et par téléphone on arrive à se faire expliquer la situation par Yang…

Lundi 13 février. Ce matin nous laissons nos sacs au bungalow et reprenons la montée jusqu’à la route pour descendre ensuite jusqu’à la prochaine plage  (Tanote Bay). C’est une plage plus grande où le courant est moins fort, on peut donc se baigner.

En arrivant, on dégouline comme si on avait reçu des seaux d’eau sur la tête, on se jette donc directement à l’eau. Nous louons des masques et tubas et passons un certain temps dans l’eau à admirer une multitude de coraux et de poissons de toutes les couleurs. On lézarde aussi un peu sur la plage.

Nous ne rentrons pas très tard car le ciel se couvre un peu dans l’après-midi et on redoute un peu la pluie. En arrivant chez Yang après un nouveau tour de montagnes russes, une bonne douche puis on s’installe pour profiter des lumières magnifiques de cette fin de journée.

Le soir et par hasard on se rend compte qu’il y a une connexion internet en wifi qui marche assez bien, chose surprenante dans le fond de cette crique peu fréquentée…

Mardi 14 février. Après le petit déjeuner nous reprenons la route en sens inverse avec l’intention de retourner à la plage de Sunset qui nous avait vraiment plu, tout en redoutant qu’il n’y ait pas de place. On monte, en 15 minutes on est trempé jusqu’aux os, on descend, on avance… et en moins de 2 heures on retrouve les lieux presque familiers de notre première nuit sur l’île. Malheureusement et comme on le craignait, la fille de la propriétaire nous annonce qu’il ne reste pas de bungalow à 400 baths, seulement ceux à 1800… On s’apprête à partir quand on croise la propriétaire qui nous reconnait. « Si, si j’ai une place pour vous » nous dit-elle, des gens s’en vont, il nous faut juste le temps de faire le ménage ! C’est pas possible d’avoir autant de chance, on dirait qu’on est tombé dedans quand on était petit ! A une minute près on ne la croisait pas et c’était cuit pour nous.

On attend un peu puis on s’installe dans notre bungalow avant de foncer vers la plage. Hervé loue à nouveau un masque-tuba, il a eu une révélation et lui qui n’est pas très « aquatique » d’habitude prend un grand plaisir à nager avec les poissons. Il faut dire qu’il y a une telle richesse de faune marine : le poisson girafe, le bleu ciel à pois dorés, l’arc-en-ciel fluo, le noir et blanc tigré, la limace de mer…

À table, on se régale… Les thaïlandais sont non seulement aimables, patients et très souriant mais ils ont aussi un talent pour la cuisine qui nous enchante.

En fin d’après-midi Hervé se rend au village (en courant) et réserve nos places pour le retour en bateau et en train pour demain. À son retour, il est trempé de sueur mais il tient une rose à la main… On termine cette très belle journée en prenant un cocktail (rhum, banane, noix de coco, mangue, ananas) nourrissant et un repas à la lueur des bougies et lanternes de la terrasse du Sunset. De gros crabes nous accueillent à la porte de notre bungalow et on s’endort bercé par le bruit des vagues (et du ventilateur aussi pour être honnête !)

Mercredi 15 février. Nous nous levons tôt ce matin et reprenons le chemin vers le village de Mae Haad, où nous avions débarqué quelques jours auparavant.

Sur le chemin du retour...

On prend un gros repas qui servira de petit-déjeuner et de déjeuner au café où l’on avait laissé un partie de nos affaires. Je pensais mettre le blog à jour, mais la connexion ne me le permet pas. Nous déambulons un moment dans les rues de ce village littéralement dévoré par le tourisme et qui en même temps lui doit presque tout. Nous prenons le bateau qui a plus d’une demi-heure de retard à 15h, puis après 3h de navigation agréable sous un soleil éclatant, nous prenons un vieux bus cahotant qui nous emmène jusqu’à la gare ferroviaire.

Là et du fait du retard, nous avons à peine le temps de manger, puis nous nous précipitons sur le quai… mais le train est en retard aussi, on aurait dû prendre notre temps !

Quand on monte enfin dans ce train et qu’on regagne nos places on est agréablement surpris car il y a de la place pour les jambes et les fauteuils sont inclinables sans qu’on ait l’impression d’être couché sur les jambes du passager de derrière ; par contre les lumières violentes restent allumées toute la nuit et le niveau sonore du véhicule assez élevé. Le trajet est bien plus agréable qu’à l’aller mais nous ne dormons pas beaucoup…

8 réflexions au sujet de « Bangkok et Koh Tao »

  1. Coucou les N’amoureux !
    Alors puisque c’est Hervé qui doit avoir mis le p’tit Bouddha de 45m dans son sac a dos pour me le rapporter (ben oui il est galant donc je suis certain qu’il s’est proposé)…..Est-ce que ton côté, Anna, tu pourrais rapporter une petite plage pour ma Chérie ????
    Merci d’avance je sais que tu vas consentir a cet effort (pas plus de 1000m2 bungalow compris) !!!!!
    Bisous a tous les deux et……..
    Félicitation pour cette épilation qui doit ravir Hervé LOL

  2. Ah ben voilà des photos et une atmosphère qui nous sont plus familières!! Cette sensation d’être humide du matin au soir et du soir au matin, cette impression que nos battements cardiaques ne peuvent dépasser les 90 sans perdre 1L d’eau à la minute, et 540 buddhas au mètre carré dans un temple à chaque coin de rue! Le rêve de ma moitié!!! Lol

    • Oups! Validé le commentaire trop tôt!!! La blonde!!!
      La classe, Hervé, trop mignon cette rose!! Tu as du marquer un point!! :)
      Bonne suite de route les loulous, nous on termine quelques travaux (ça change!!) avant de prendre la route de la Bretagne pour enfin fuir l’effervescence parisienne!!!
      Plein des bisous à vous deux!!!

  3. Mais quel romantisme !!!
    On est heureux de voir que vous allez bien. Quels beaux paysages, ça me rappelle la virée de 2005-2006, et ça me laisse rêveuse…!
    Gros bisous de nous deux et un p’tit bec d’Agathe aussi ! A très vite !

  4. Quel bonheur de vous lire !!!… C’est tout simplement magnifique de voyager à travers vos récits, vos photos, ces paysages, ces lumières… Continuez à en profiter à fond, à nous faire partager cette magie… cet émerveillement… les mots me manquent !!!
    MERCI, portez-vous bien tous les deux, à bientôt !!!

  5. Que de somptueux paysages !!!!!! Merci de nous faire partager tous ça !!!!! C est magnifique !!!!!! Merci encore !! des bisous …

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